Sorti d’études, on ne sait pas faire grand-chose… Mais la maîtrise s’acquiert par la pratique ! Son diplôme d’ingé agro en poche, Florian a co-fondé Terreauciel. C’est donc directement dans le grand bain qu’il s’est découvert des compétences certaines en développement et gestion d’entreprise. Cela fait maintenant plus de 10 ans qu’il met son expertise en agroécologie et pédologie, entre autres, au service de clients et partenaires variés. Sa curiosité l’amène à explorer de nouveaux domaines pour parfaire le champ d’actions de Terreauciel. Sa dernière lubie ? Le maraîchage sur sol vivant et toutes les adaptations des itinéraires techniques qui en découlent. Cette expertise a été en particulier appliquée Aux Carrés Maraîchers au sein de l’incubateur de Terreauciel. Florian est autant à l’écoute des autres que de la nature.

Co-fondateur et co-gérant de TERREAUCIEL, Laurent Rougerie, dit Rourou, s’est formé à AgroParisTech pour devenir ingénieur agronome spécialisé dans l’ingénierie des espaces végétalisés. Aujourd’hui co-fondateur d’Edenn, administrateur de l’AFAUP, directeur et co-fondateur des Carrés Maraîchers, Laurent se démarque par sa grande polyvalence, son efficacité de travail ainsi que sa vision stratégique et de développement.

Toujours prêt à découvrir, ses passions ne sont pas en reste avec l’apiculture qu’il pratique depuis de nombreuses années, la montagne sous tous ses angles (parapente, escalade, randonnée, pêche), sans oublier la coutellerie, le bricolage ou le jardinage… et on pourrait en citer encore beaucoup !

Passionné de botanique et d’écologie, créatif et curieux de tout, Victor a choisi le métier de paysagiste concepteur qu’il exerce depuis 6 ans dont 3 au sein de Terreauciel ; il est également co-fondateur et membre actif des Bobines du Paysage. Diplômé de l’ENSAP de Bordeaux il a depuis acquis une très bonne connaissance du contexte toulousain. Réfection de cours d’école, création de cours oasis dans les collèges, restauration du cloître des Chartreux… sont quelques exemples des projets dont il a été le maître d’œuvre. Aimant le débat et le partage d’expériences, il aborde ses dossiers avec une approche pluridisciplinaire et prend en compte les dynamiques d’évolution (climat, biodiversité…) avec un objectif de qualité d’usage des lieux qu’il conçoit. Attiré autant par les voyages lointains qu’attaché à sa commune de Bruniquel, « Vic » se ressource naturellement grâce à la pratique de la randonnée, de la pêche ou du jardinage.

Noémie Monnier occupe le poste de cheffe de projet agronomie. Formée à l’AgroParisTech, elle a fait son bonhomme de chemin avant de rejoindre l’équipe de Terreauciel. Après avoir été chargée de la coordination d’un collectif de structures d’insertion en agriculture urbaine, elle a participé, au sein de l’INTERAFOCG, à autonomiser de nombreux.ses agriculteur.rices quant à leurs prises de décisions sur les fermes. Évoquez les « Coopérations territoriales » et vous ne l’arrêterez plus ; parlez « Agroécologie » et vous vous trouverez une passion commune ; dites « Systèmes alimentaires durables » elle vous répondra présente ! Au-delà du professionnel, sa vie personnelle déborde d’énergie. Vous pourrez l’apercevoir modelant de la terre, sous l’eau en plongée ou exécuter une pyramide humaine, dernière passion qui n’est pas toujours couronnée de succès mais pour laquelle elle s’entraîne rigoureusement !

Paysagiste depuis 2009, Fabrice a travaillé auparavant à Toulouse, Paris, Bordeaux, sur des projets très variés d’espaces publics. Avant de reprendre des études à l’Ecole du Paysage de Versailles, il avait d’abord étudié aux Beaux-Arts et exploré le champ des arts plastiques, de la peinture à la vidéo. Du minéral au végétal, Fabrice lit le paysage comme d’autres des romans.

Il est aussi concepteur de promenades depuis 9 ans, enseignant en paysage, actif dans le milieu associatif et militant de la ville durable et citoyenne, et connait par cœur les numéros de département des plaques minéralogiques (avant qu’elles ne s’appellent des plaques d’immatriculation)… Ce parcours long et varié pourrait indiquer qu’il est un peu plus vieux qu’il en a l’air !

Claire, ingénieure agronome de formation, s’est spécialisée dans l’agriculture urbaine en étant au contact de différentes structures franciliennes qui gravitent autour de cette thématique. Elle a notamment travaillé plusieurs années dans une structure qui accueille des personnes en insertion. Elle en tire une appétence particulière pour les projets intégrant des enjeux sociaux.

L’envie de quitter Paris lui a fait saisir l’opportunité de déménager à Toulouse, même si c’est très loin de son Alsace natale ! Mais elle trouve ici de quoi se régaler – bien qu’elle ne mange pas de canard… – en enchainant les soirées danse et les weekends de varappe et de randonnée.